"C'est un peu la mise en forme d’un album de famille à partir de mes archives personnelles." a précisé Vivian Ostrovsky à propos de ce film réalisé en 1984. Les femmes de sa génération, et celles de la suivante, retrouveront elles aussi des images correspondant à la période des communautés créées dans la suite de mai 1968, et l’atmosphère joyeuse et festive qui régnait dans les groupes féministes de l’époque ! Le montage haché, le défilement d’images que l’on ne déchiffre pas au premier regard, la bande son de Vivian Ostrovsky et Patrick Genêt, faite de sons réels — on distingue les cloches de l’église du village et le chant du coq — et d’extraits musicaux, tout concourt à constituer ce que le cinéaste et critique Yann Beauvais appelle un "journal-mosaïque".
Joëlle Bolloch
Membre du bureau du Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir
avec l’aide d’Anne-Laure Berteau
"C'est un peu la mise en forme d’un album de famille à partir de mes archives personnelles." a précisé Vivian Ostrovsky à propos de ce film réalisé en 1984. Les femmes de sa génération, et celles de la suivante, retrouveront elles aussi des images correspondant à la période des communautés créées dans la suite de mai 1968, et l’atmosphère joyeuse et festive qui régnait dans les groupes féministes de l’époque ! Le montage haché, le défilement d’images que l’on ne déchiffre pas au premier regard, la bande son de Vivian Ostrovsky et Patrick Genêt, faite de sons réels — on distingue les cloches de l’église du village et le chant du coq — et d’extraits musicaux, tout concourt à constituer ce que le cinéaste et critique Yann Beauvais appelle un "journal-mosaïque".
Joëlle Bolloch
Membre du bureau du Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir
avec l’aide d’Anne-Laure Berteau