Copie, original ? Ce qui compte c’est de savoir satisfaire sa clientèle. Toucher le tissu pour en estimer la qualité, passer commande au tailleur. Sous le regard attentif de Marie Voignier, nous découvrons l’expertise de ces entrepreneuses africaines venues monter leur business à Guangzhou.
Loin de nos imaginaires de l’import-export, dans cette économie qui s’organise à l’écart des régulations occidentales, tout se joue sur un bout de comptoir, avec une calculatrice.
On parle pourtant bien de commerce international, de marchandise à n’en plus finir qui transite entre les continents : les sacs s’amoncellent, les camions n’en finissent pas de se remplir, le bruit du scotch jusqu’au vertige. À Guangzhou, Marie Voignier nous fait toucher du doigt les mécanismes d'une mondialisation à l’œuvre, dans toute sa démesure.
Alizée Mandereau
Responsable du Préachat à Tënk
Lire le texte de Gabriel Bortzmeyer à propos de deux films de Marie Voignier ("Le Bruit du canon" et "Na China") sur le site de la revue Débordements.
Copie, original ? Ce qui compte c’est de savoir satisfaire sa clientèle. Toucher le tissu pour en estimer la qualité, passer commande au tailleur. Sous le regard attentif de Marie Voignier, nous découvrons l’expertise de ces entrepreneuses africaines venues monter leur business à Guangzhou.
Loin de nos imaginaires de l’import-export, dans cette économie qui s’organise à l’écart des régulations occidentales, tout se joue sur un bout de comptoir, avec une calculatrice.
On parle pourtant bien de commerce international, de marchandise à n’en plus finir qui transite entre les continents : les sacs s’amoncellent, les camions n’en finissent pas de se remplir, le bruit du scotch jusqu’au vertige. À Guangzhou, Marie Voignier nous fait toucher du doigt les mécanismes d'une mondialisation à l’œuvre, dans toute sa démesure.
Alizée Mandereau
Responsable du Préachat à Tënk
Lire le texte de Gabriel Bortzmeyer à propos de deux films de Marie Voignier ("Le Bruit du canon" et "Na China") sur le site de la revue Débordements.